L' ALBATROS
l’Albatros, poème de Baudelaire, 1861, extrait de « spleen et idéal », dans Les fleurs du mal.
L’Albatros pour sa situation de déséquilibre qui le rend comique et amuse les hommes d’équipages.
Je pense aussi à Buster Keaton dans le film « One Week » 1920, (quand la maison est montée à l’envers montrant ainsi l’intérieur à l’extérieur).
La beauté ; La fragilité et fabriquer des objets qui ne puissent servir, l’invendable, l’imprenable, faire exister les opposés à la limite de l’extrême ! échapper à l’objet !
Quand j’utilise le plâtre et le verre pour les joindre ; ils se séparent aussitôt après l’évaporation de l’eau, à croire que n’ayant plus soif, le plâtre se décolle de la vitre lui redonnant toute sa transparence lui ayant pris sa forme, mais pas sa résistance, …devenu Intransportable, et se brisant entre le pouce et l’index.
Intimement lié au corps, le résultat de tous mes essais tente d’écrire une partition, qu’elle soit la moins sérieuse possible pour aller « plus loin que les gares ».
« …Plus loin que les gares, le soir… » 1906, une pensée pour le poème d’ Émile Verhaeren ».
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