Paris-Musées - Service Diffusion
Frankenstein - Un cadavre exquis
Parution
Arts plastiques
Paris-Musées
•
Paris 10
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Les portraits
Cela a commencé comme un jeu. Jean-Marie Antenen a sélectionné, sans les choisir, une phrase par page dans une édition de Frankenstein. Refermé le livre, oubliées les phrases, il a entrepris de peindre une image pour chaque page de texte du livre, soit 244. Le travail de peinture était soumis à quelques contraintes:
- de sujet: des portraits, comportant un dispositif graphique d'encadrement
- de temps: 20 minutes par image
- techniques: format identique (35 x 50 cm), en couleurs sur fond noir et peintes avec les deux mêmes pinceaux.
Complément d'information
Informations complémentaires
Sur les images, conservées dans l'ordre dans lequel elles avaient été peintes il a appliqué, à la peinture blanche, les phrases dans leur ordre d'apparition (page 1 = image 1, etc...). Aussi, le rapport texte-image est-il alléatoire, les portraits n’ayant pas été peints pour telle ou telle phrase du livre. Les planches mises côte à côte, ou à la suite, forment une sorte de cadavre exquis, ce qui leur va bien. Au terme de l'exercice, il a décidé de recommencer avec des phrases extraites d'une édition anglaise de Frankenstein avec une nouvelle contrainte: tous les portraits devaient être noir et blanc.
Au final, 488 portraits constituent ce cadavre-exquis.
Le CD de la Fanfare du Loup
Dans la tradition des orchestrations des films muets du début du XXe siècle, la Fanfare du Loup s'est attaquée au «Frankenstein» de Jean-Marie Antenen en mettant ses sons sur les portraits noir et blanc.
Quoi de plus stimulant pour elle que de pouvoir entreprendre un dialogue musical avec les peintures de l'artiste. Aller à la rencontre de Mary Shelley, se confronter avec le peintre, sont des aventures que la Fanfare du Loup aime à vivre.
Selon la règle du cadavre exquis, chaque musicien du collectif a composé 6 minutes de musique et en a donné les 8 dernières mesures au suivant qui les a utilisées pour débuter sa propre partition, et ainsi de suite. Chacun est resté libre de choisir sa tonalité, son tempo, ses silences, son écriture, ses improvisations, ses orchestrations. La longue et riche expérience commune des musiciens de l’orchestre permet à cette suite de trouver sa propre cohérence. C’est également le son propre du collectif, considéré comme matière première qui sert de fil rouge à cette partition à multiples créateurs. Chaque composition donne ainsi l'étincelle de vie à la suivante.
520 pages + CD / 500 illustrations couleur / Format 16,5 x 24 cm / ISBN : 978-2-940360-16-1 / PVP : 57 € / Relié
Éditions Quiquandquoi
Date de parution : novembre 2007
Diffusion-distribution en librairies : Paris Musées
Sur les images, conservées dans l'ordre dans lequel elles avaient été peintes il a appliqué, à la peinture blanche, les phrases dans leur ordre d'apparition (page 1 = image 1, etc...). Aussi, le rapport texte-image est-il alléatoire, les portraits n’ayant pas été peints pour telle ou telle phrase du livre. Les planches mises côte à côte, ou à la suite, forment une sorte de cadavre exquis, ce qui leur va bien. Au terme de l'exercice, il a décidé de recommencer avec des phrases extraites d'une édition anglaise de Frankenstein avec une nouvelle contrainte: tous les portraits devaient être noir et blanc.
Au final, 488 portraits constituent ce cadavre-exquis.
Le CD de la Fanfare du Loup
Dans la tradition des orchestrations des films muets du début du XXe siècle, la Fanfare du Loup s'est attaquée au «Frankenstein» de Jean-Marie Antenen en mettant ses sons sur les portraits noir et blanc.
Quoi de plus stimulant pour elle que de pouvoir entreprendre un dialogue musical avec les peintures de l'artiste. Aller à la rencontre de Mary Shelley, se confronter avec le peintre, sont des aventures que la Fanfare du Loup aime à vivre.
Selon la règle du cadavre exquis, chaque musicien du collectif a composé 6 minutes de musique et en a donné les 8 dernières mesures au suivant qui les a utilisées pour débuter sa propre partition, et ainsi de suite. Chacun est resté libre de choisir sa tonalité, son tempo, ses silences, son écriture, ses improvisations, ses orchestrations. La longue et riche expérience commune des musiciens de l’orchestre permet à cette suite de trouver sa propre cohérence. C’est également le son propre du collectif, considéré comme matière première qui sert de fil rouge à cette partition à multiples créateurs. Chaque composition donne ainsi l'étincelle de vie à la suivante.
520 pages + CD / 500 illustrations couleur / Format 16,5 x 24 cm / ISBN : 978-2-940360-16-1 / PVP : 57 € / Relié
Éditions Quiquandquoi
Date de parution : novembre 2007
Diffusion-distribution en librairies : Paris Musées
Accès mobilité réduite
Oui
Adresse
Paris-Musées
27 rue des petite écuries
75010 Paris 10
France
Dernière mise à jour le 2 mars 2020