Archée, cybermensuel

Parution
Nouvelles technologies
Archée, cybermensuel Montréal
Nos très appréciés collaborateurs, Caroline Chik et Bernard Guelton, ouvrent cette première publication de la saison 2005-2006 du cybermensuel archée.

Complément d'information

Première publication de la saison

Caroline Chik nous présente un compte rendu exhaustif et critique d'ICHIM 05 qui se déroulait à Paris au mois de septembre dernier. Le titre que Caroline a choisi pour son compte rendu : « Un programme riche, pour un public... spécialiste », soulève indirectement la question de la place réservée au grand public dans cette neuvième rencontre internationale, organisée par l'International Culture and Heritage Informatics Meeting, sous le thème de la numérisation du patrimoine et de l'émergence des cultures numériques. Lorsque l'internationnalisme entre en jeu, la tentation est en effet grande de délaisser la curiosité publique pour réserver ses atours à ceux qui tirent les ficelles de l'industrie. Malgré tout, l'art, la technologie et le commerce se sont cotoyés, ce qui en soi demeure une orientation forte entre l'art et une industrie technologique souvent à l'affût d'idées novatrices ou exploitables. Caroline accompagne son article de nombreux extraits vidéo fort explicites. Si vous n'avez pas eu la chance de vous y rendre... c'est le temps ou jamais.

Bernard Guelton a, pour sa part, élaboré une réflexion faisant appel aux notions de nature et de réseau, «La nature au bord des réseaux». Deux notions qui ont beaucoup en commun tout en étant chacune ouverte à de multiples interprétations, car elles impliquent toutes deux une dimension dynamique fascinante. Pour Bernard, il s'agira d'« [...] une forme d’allégorie dans laquelle la régulation, l’accident et la survivance ont tous lieux " presque " au même moment ». Cette réflexion s'appuie sur l'analyse de trois oeuvres, dont une de notre collaborateur (à tout seigneur tout honneur, et nous en sommes ravis). Ces trois oeuvres sont : Telegarden de Ken Goldberg (1995 - 2004), 34 secondes pour 3400 bio-robots de Bernard Guelton (1994) et Brennen und gehen de Lois Weinberger (1993 - 1997). En lisant cet article de Bernard Guelton, on ne peut que réitérer l'immense bienfait que nous procure un moment réflexif sur l'art et les esthétiques contemporaines.

Autres artistes présentés

Ken Golberg, Grégory Chatonsky, Bernard Guelton

Accès mobilité réduite

Oui

Adresse

Archée, cybermensuel 1-2570, rue Bercy Montréal Canada
Dernière mise à jour le 13 octobre 2022